Suite à notre enquête sur les réseaux sociaux réalisée l’an dernier, à la conférence proposée aux parents sur le même thème et en lien avec l’EARS (Education Affective, Relationnelle et Sexuelle), les élèves de 3ème ont participé à une pièce de théâtre « Fariboles», suivie d’un débat. 
Ce temps unique et un peu exceptionnel a permis aux élèves de découvrir les réseaux sociaux avec un autre regard. L’échange qui a suivi entre les acteurs et les collégiens a été riche et constructif pour les uns et les autres.
Bénédicte MORIN, infirmière 
« J’ai bien aimé, j’ai trouvé l’histoire bien tournée, drôle et humoristique. Elle nous montre que le contact « vrai » est plus positif que le contact « virtuel ». Elise
« J’ai trouvé que cette pièce de théâtre était très intéressante car elle montre bien l’absurdité du comportement des gens sur les réseaux sociaux et le mal qu’on peut avoir à s’en séparer. Cela nous a montré la futilité des réseaux sociaux » Arthur
« La pièce est très sympathique, l’absurde des personnages rend celle-ci drôle. Le débat à la fin nous aide à mieux comprendre la pièce qui s’est joué sous nos yeux juste avant.
J’ai adoré, malheureusement je trouve la pièce un peu courte et parfois certaines blagues sont difficiles à comprendre pour des adolescents. Je pense que l’expérience de jouer « Fariboles » dans un collège est très bien, cela sensibilise les élèves sur les effets des réseaux sociaux ». Gaëlle
Les Fariboles dans le Vrai !
Le spectacle : un homme, une femme, victimes de leurs solitudes ordinaires sont réunis par l’intermédiaire d’un « internet » tour à tour cajoleur, directif voire dictatorial, personnifié par une troisième actrice. Le thème est délicat. Traité avec humour par la plume de l’un des acteurs, il place apparemment les collégiens face à des affaires d’adultes. Pourtant, on sent bien que le sujet les captive : les rapports amoureux, la place d’internet et des réseaux sociaux dans nos vies, la nécessité de paraître plutôt que d’être… autant de questions qui taraudent nos jeunes ados du XXIème siècle. Les échanges nourris qui s’en sont suivis ont confirmé cet intérêt pour la pièce et tous, acteurs comme spectateurs, sont sortis ravis de cette expérience. Un professeur